Aux portes de la cité......

Les portes de la cité reflétaient l'entre de celle-ci! Elles étaient fortes et grandiose, faitent de bronze et de marbre.....La solide porte était dure d'accés, du à ses gardes postés continuelement devant!




Shaïgan et Elen arrivèrent devant la porte, mais virent qu'elle était gardé par 4 soldats, ou peu être plus lorsqu'il apperçurent une maison de garde.
il se faufilèrent alors dans une ruelle face à la porte. Ne voyant pas leur homme, il attendirent là jusqu'à son arrivée....

Elen ne savait que faire, elle réfléchisait à ce qu'elle pouvait dire, mais rien ne lui vient à l'esprit. Elle posa donc son sac sur le sol et s'appuiya sur le mur, bras croisés. Elle avait enfin retrouvé le sourire au contraire de son ami.

"Il me plait cet elfe! Donner rendez-vous sans y pêtre! Cela me plait"

Puis elle rigola, mais apparament seul. Elle se pencha alors vers Shaïgan.

" As tu dont peur de moi? Enfin je veux dire....as tu dont peur des femmes pour ne point combattre avec elles? ou pour juste les avoir dans ton lit?"

Ses paroles pouvaient mal être intèrprétées mais ce n'en était pas l'intension de Elen. Elle cherchait juste à se rapprocher de Shaïgan par chamallerie.....

Shaigan, contrairement à sa jeune amie, n'était pas impatient. Il se doutait qu'en ce moment même, des hommes de l'elfe étaient en train de les observer. Lui aussi se décontracta, et s'appuya sur le mur à coté d'Elen.

Le ton de la jeune femme fit sourire Shaigan. Il retrouvait la guerrière à l'esprit rebelle, celle dont il s'était dit qu'il n'aurait pas souvent le dernier mot avec elle.


Il répliqua avec un sourire:

"Disosn que mes côtes se souviennent de tes "caresses", Elen. Et il est vrai que j'aime combattre les femmes pour les mettre dans mon lit"

Il éclata de rire, et ajouta:

"c'est bon de t'avoir à mes cotés, ma jolie!"

Elle se sentit un tentiné mieux, il avait l'air plus serein, moins anxieu! Et il redevenait comme ainsi dire provoquant envers elle. Elle sentait que l'elfe allait tardé à venir, elle se redressa alors du mur et défesa son armure(normalement c'est pas aussi simple...mais c'est ca la magie de l'écriture^^), de nouveau son bustier se fesait voir.
Elle se rapuya alors sur le mur tout en se raprochant de Shaïgan. Elle sentait de nouveau cette hosmose qu'ils avaient eu au début de leur rencontre...

"Crois tu que je n'apprécis pas d'être aux côtés des tiens?"

Elle tendit alors la main, et attrapa une mèche des cheveux à Shaïgan. Elle jouait avec celle ci et son index. Tout en le regardant tantot dans les yeux puis dans sa chevelure...

"L'aventure et la bourse se font attendres....heureux pour moi que tu sois la, "mon grand"!"

Elle rigola à sa dèrnière réplique, non par moquerie mais plutot par charme...
Mais veint alors un homme...c'était lui, l'elfe...
Ne sachant que faire elle regardit Shaïgan....

Shaigan sourit aux propos de la belle; il allait répliquer, car il aimait quand Elen menait son petit jeu de cette façon, lorsque l'elfe apparut.

Shaigan détaillait l'elfe pendant qu'il parlait… Cet être ne lui inspirait aucune confiance, comme d'ailleurs la plupart de ses employeurs potentiels. Mais il faisait son travail pour l'argent, et peu importait qui fournissait la paye.

Il se doutait que les paroles de l'elfe, qui ne semblait n'avoir que mépris envers les humains, risquaient de vexer la jeune personne à ses cotés.

D'un ton détaché, il demanda:

"Qu'entendez vous par "des ennemis"? Un ennemi est une notion relative, et les alliances fluctuent souvent au gré des évènements."

Shaigan jeta un coup d'œil à sa belle compagne. Il sentait palpiter en elle toute sortes d'emotions, qu'il comprenait fort bien L'elfe était particulièrement irritant. Il soupesa la bourse, l'air indifférent, puis répondit:

"Marché conclu. Alors comme ça, nous allons travailler pour les fers de lance?"

dit-il d'un ton froid et détaché.

"Quand et où devons nous vous prévenir de nos résultas!!!???"

Dit elle d'un ton plus que sec.....Elle fixait l'ekfe droite en signe de force et de dignité!

"Car nous ne dirons pas à la lune ce que nous avons trouvés, cela risque fort de lui déplaire!"

Elle se moquait de lui ouvertement, mais cela était mieu qu'un coup de couteau;.... elle lanca un regard ironique à l'elfe!

Shaigan avait tenté de surprendre l'elfe, mais celui-ci avait bien trop de sang-froid. Peu lui importait, en fait, de savoir pour qui il travaillait. Moins on posait de question dans son métier, et plus on avait de chances de faire de vieux os.

Il se tourna vers sa jeune compagne, et lui dit:

"Bien, nous aurons besoin de solides montures. Allons nous acheter des chevaux".

Il lui dédia un grand sourire:

"Je te laisserai choisir les chevaux, j'ai l'impression que tu ne te débrouilles pas trop mal avec les montures rétives!"

Shaigan marcha un moment sans répondre à sa compagne. Alors qu'ils se dirigeaient vers une écurie, il répondit finalement:

"Non, je n'ai pas peur des femmes. Mais la vie de corsaire ou de mercenaire fait que je n'ai rencontré, jusqu'à présent, que des catins ou des esclaves. Jamais je n'ai combattu aux cotés d'une guerrière. Cela est nouveau pour moi"

Cela lui faisait assez drôle de se confier de la sorte, lui qui par nature n'accordait jamais faccilement sa confiance. Mais avec cette jeune guerrière, les choses lui paraissaient différentes. Il sentait que sa vie allait subir toute sortes de chamboulements.

Il poursuivit:

"D'habitude, je travaille seul. J'ai l'habitude de ne faire confiance qu'à moi même. C'est vraiment nouveau de faire équipe avec quelqu'un... Peut-être que je faiblis, que je ne supporte plus la solitude , et qu'il faudrait que je prenne ma retraite?", dit-il avec un faible sourire.

Cette conversation l'avait mis mal à l'aise, car il lui semblait qu'il se diminuait aux yeux de la bellle à parler ainsi.

Il marchanda deux belles montures, deux solides chevaux pour un long voyage, et ils partirent aussitôt.

(direction: voyages)

Les deux compagnons étaient enfin arrivés à bon port. Après avoir peu dormit et franchi bon nombres d'obstacles , ils étaient enfin devant Minas Tirith, blanche et rayonnante telle la neige éclairée par un doux soleil.
Elen voyant la citée blanche apparaitre avait ressentit une forte et lourde émotion. Elle sentit les larmes se frayer un chemin parmi son coeur de pierre et de ses yeux on pouvait y voir une semblable rosée, telle celles de matin si doux mais si frais. Ils avaient parcourue un si long et fatiguant périple qu'elle ne se sentait que plus éffondrée par la fatigue en des lieux où elle s'avait que la possibilité d'un repos était certain. Elle resta tout de même digne, dans sa bonne vieille habitude. s'arretant alors à quelques mètres des portes, Elen contempla cette citée qu'elle haissait autant qu'elle l'aimait. Elle regarda alors Shaïgan et d'un voix désormais paisible,tout en ayant ce regard continuel, elle s'approcha et lui parla.

"Je vais t'avouer quelque chose...je ne croyais pas réellement revenir de ce périple..."

c'est alors qu'elle se mit à rire et pour la première fois elle ne voulait plus pâraitre si forte qu'auparavant. Elle était si fatigué et sa blessure bien que s'étant faite oubliée quelque temps était toujours là! Alors reprenant son souffle comme après un effort considérable, elle regarda de nouveau la citée. Tout en laissant couler une légère larme sur sa joue gauche elle afficha un sourire quelque peu étrange...comme nostalgique mais même Elen ne savait vraiment d'où provenait cette faille de sa part.

"Je pense qu'un bandage neuf et propre ne serait pas du luxe ainsi qu'un bon sommeil!"

Elle regarda alors Shaïgan et lui sourit avec délicatesse....Puis se mettant la main sur le front elle essaya tant bien que mal à former ses mots.

"Nous devrions y aller, plutot nous y serons plutot notre bourse sera entre nos doigts....et plutot nous pourrons nous reposer."

Shaigan jaugea la Cité Blanche... Contrairement à Elen, aucune émotion ne plana sur son visage. Il admirait les défenses de l'imprenable cité, dont on disait poiurtant que les armées du Mordor étaient presque parvenues à bout lors de la Guerre de l'Anneau. Il jeta un coup d'oeil à sa compagne, eécoutant ses paroles, et fit mine de froncer le nez, un sourire au coin des lèvres.

"Je gage qu'un petit bain ne te ferait pas de mal non plus. Je ne sais qui de toi ou de ta monture me fait parvenir cet adorable fumet qui enchante mes narines", dit-il.

Puis il se pencha sur sa selle pour esquiver une retentissante giffle.

Les deux compagnons partirent au petit trop et s'engouffrèrent dans la cité, au milieu des chariots de marchands qui entraient dans la capitale du Gondor pour vendre leurs marchandises. En passant, Shaigan fit un petit hochement de tête pour saluer les gardes, qui leurs jetaient des regards méfiants, mais les laissèrent passer sans encombres.

Après tout, la cité n'était pas en guerre.

Ils cheminèrent un moment dans la Cité, en quête d'un gîte convenable. Shaigan se tourna sur sa selle et interpela sa compagne:

"Trouve nous une auberge; je vais aller "Aux Machins de Taverne", faire savoir à la pègre locale que nous sommes de retour. Laisse ton cheval devant l'entrée, comme ça je saurais dans quel bouge tu es encore allée te fourrer".
Il se pencha par dessus sa selle pour l'embrasser, mais fut reçu par une giffle.

"Il te faudra te montrer plus courtois si tu veux cueillir ce genre de récompenses", dit-elle, un éclair de malice dans le regard.

Shaigan ricana et semit en quête de la taverne mal famée.

(direction: machins de tavernes)